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Libres pensées

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30 avril 2008

Un tournant dans la vie (2)

Le grand virage

1°) L’appel de l’âme ou la mort

Depuis de longues années, je ressens profondément le désir d’apporter quelque chose à ceux qui souffrent dans leur corps, dans leur tête, dans leur cœur. J’ai donc compris le message suivant : Je t’ai mis – me dit la Vie – la pression pour que tu sortes enfin de là et que tu vives ce pour quoi tu es ici, sur cette Terre. Il était temps, a-t-elle rajouté, que tu le comprennes !

Je ne sais si vous l’avez ressenti un jour, mais la vie peut vous amener à la mort si vous ne voulez pas comprendre ce qu’elle veut vous apporter. Combien sommes-nous à faire le choix de renoncer à notre Bonheur pour une survie aléatoire, par peur de lâcher la rampe ! Et pour la Vie, la mort n’est rien puisque nous sommes immortels (nous en parlerons un jour si vous le voulez). Alors elle n’hésite pas, n’ayant pas d’émotions qui sont le propre de l’humanité, à nous faire passer par là si nous n’avons pas compris ses messages précédents.

2°) Passer outre les peurs

C’est cela qu’elle me demande : lâcher la rampe, quitter les fausses sécurités d’un travail dans la totale dépendance, la soumission, l’obéissance.

Bien sûr, ça fait peur ! Oh oui ! D’autant plus que, quittant ce travail, je n’ai pas de rampe de secours, pas de canne financière sur laquelle m’appuyer au cas où !

Pourtant c’est ça où la mort : on peut mourir réellement, virtuellement, ou symboliquement. Je connais plein de morts-vivants. Est-cela que je veux ? Suis-je là pour cela ? A vous de voir, mais pour ma part, je réponds non !

Donc, il me faut prendre un gros risque... celui de Vivre !

L’argent est le nerf de la guerre, dit-on. Le besoin de se battre pour l’obtenir est ancré dans notre inconscient collectif. La vie est une bataille, nous sommes là pour en baver, voilà notre programme, du moins celui de la plupart d’entre nous.

Pourtant, la Vie est prête à nous offrir l’abondance si nous acceptons de lâcher ce programme qui n’a aucun sens. Bien sûr, elle ne nous promet pas le beurre et l’argent du beurre. Elle nous demande d’abord de lâcher nos fausses sécurités. Pas de faire n’importe quoi n’importe quand. Mais d’être à l’écoute de ses messages et de lui – et de nous - faire confiance.

Alors voilà, j’en suis là. J’ai remarqué à quel point, lorsque c’est le moment, tout se goupille pour nous offrir le meilleur. Tout ne sera pas facile, j’ai une expérience à faire. Mais cette expérience consiste avant tout dans ce lâcher-prise pour que l’Univers m’apporte ce qui correspond à la soif de mon âme, à ma raison d’être sur cette Terre. Si je bloque le flot d'énergie par mes peurs et mes crispations, rien ne pourra jamais se passer.

Je vous tiendrai au courant de la suite. Je crois que « ça promet » !

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30 avril 2008

Un tournant dans la vie (1)

Que dis-je... un virage à 180° !

Co-responsabilités

1°) La gestion du stress : Vous l’avez sans doute observé, la gestion du stress est à la mode dans les médias, car les conditions de travail deviennent parfois insupportables. On vous apprend comment vous sentir mieux avec des cours de yoga, des activités créatives, du jogging, de la relaxation, tout un panel de thérapies que vous devrez utiliser le soir, lorsque vous sortez éreintés du travail.

Soyons clair, je suis tout à fait pour que nous prenions soin de nous, et il existe aujourd’hui un grand choix d’activités qui nous permettent, lorsque nous avons de quoi les payer, d’accéder à davantage de sérénité. J’ai moi-même été formée à deux d’entre elles, j’en parle donc en connaissance de cause.

Seulement, là où il y a carence, c’est du côté des patrons – enfin... de certains.... Personne n’est là pour leur demander : Eh oh ! Mesdames et Messieurs ! Voyez ce que vous faites peser sur vos employés ! Trouvez-vous normal que des ouvriers se suicident ? Est-ce normal aussi toutes ces dépressions ? »

Non, personne ne le dit car ON ne voit pas comment faire autrement : la mondialisation est là, il faut faire vite (le temps s’accélère) avec moins de personnel (la faute à qui ?), les plus performants seront récompensés (ce ne sont pourtant pas toujours les plus courageux mais peut-être les plus doués ?), les plus lents seront mis au placard (ce sont souvent les plus travailleurs car ils font moins de vent !). Chacun de nous a entendu bon nombre de « bonnes » raisons pour justifier ce qui suit...

Je travaille dans un lieu qui pratique les insultes, les rapports à tout va, les « engueulades » publiques, les menaces, le racisme, le harcèlement moral. Je crois que tout y passe, sauf les châtiments corporels (et le harcèlement sexuel, ouf !). Tout pourvu que les statistiques soient bonnes ! Pourtant, elles ne sont pas bonnes, et on les falsifie pour éviter de se faire taper sur les doigts. Eh oui !

Où est-ce que je veux en venir ?

2°) Le choix

A ceci : il y a des moments où la vie vous demande de faire des choix.

Dans le cas présent, on a voulu exiger de moi de pratiquer les mêmes méthodes que celles décrites plus haut. Bien entendu, il n’y a pas de témoins ,rien n’est écrit, tout est suggéré, ce qui a pour effet de permettre de se rétracter au cas où les choses iraient mal : « Vous avez mal compris... ».

Le message de la Vie était donc le suivant : Tu as le choix entre passer outre ta sensibilité, ton respect de la dignité humaine (ici mais cela peut aussi être la dignité animale), obéir aveuglément pour ne pas avoir d’ennuis, et vivre ton authenticité, ce que tu ressens profondément, vivre ton humanité.

Mais après avoir décidé jour de me tourner délibérément vers la Lumière, je ne pouvais ni ne voulais rentrer dans ce jeu sordide.

S'engager, c'est beau, pratiquer, c'est magnifique, mais l'émotionnel ne l'entend pas toujours de cette oreille, surtout le mien ! Je suis tombée dans la noirceur de la colère que je ne pouvais exprimer, dans l’ombre de l’incompréhension, dans ce que certains appellent la machine à laver, ce qui a valu ma longue absence sur ce blog qui s’est bien senti abandonné ! Bref, ce n’était pas vraiment la Lumière !

9 mars 2008

Les champs morphiques ou egregors

On les appelle aussi egregors. Ils pourraient être définis comme des nuages de pensées communes. Leur puissance peut-être énormes, à tel point qu'on ne peut parfois les quitter qu'au péril de notre vie.

L'egregor familial : on imagine celui des grandes familles anciennes, avec ses intrigues, ses secrets, son code d'honneur. Pourtant, il faut bien penser que rien de tout cela n'a disparu avec la mort de nos ancêtres, de quelque niveau social qu'ils aient été. La loyauté familiale est toujours présente. Le code d'honneur est imprégné en nous et influence notre comportement.

Les egregors sociaux: c'est celui du village, de l'équipe de sport, du milieu culturel, de la nation... comme autant de systèmes de pensées qui nous freinent et nous empêchent de penser librement.

L'egregor religieux: il est un des plus puissants car il agit à tous les niveaux de notre être. Il est fait de quelques croyances extrêmement fortes que l'on n'a souvent jamais envisagé de remettre en cause: le bien et le mal, la sainteté, la paradis perdu..., même si d'autres traductions de nos grands Livres Saints, d'autres  interprétations ont vu le jour.  Il faut un véritable nettoyage du corps pour en effecer l'empreinte.

Il existe encore quelques egregors très puissants qui ne seront pas mentionnés ici. N'oublions pas que le mot est porteur d'énergie. Ne pas mentionner, c'est ne pas donner corps, de poids, à ce qui en a déjà bien assez.

Il me semble évident que tout n'est pas à jeter. Il faut cependant savoir que cela existe, et que notre comportement est dicté en partie par tous ces nuages de pensées auxquels nous participons. Aussi, lorsque nous n'arrivons pas à nous débarrasser d'un paradigme, lorsque nous ne comprenons pas pourquoi nous agissons toujours de la même façon, et que nos investigations personnelles n'ont rien donné, pensons à ces champs morphiques et étudions la façon de desserrer leur étreinte.




9 mars 2008

Les métastases

S'il y a un mot qui fait peur, c'est bien celui-là: métastase. Pourtant, personne ne sait ce que cela signifie. Les chercheurs disent simplement: on ne sait pas ce que c'est mais on en voit les effets. Une métastase, nous dit Hamer, n'est rien d'autre qu'un conflit suite à un conflit.

Une cellule se met à proliférer de façon soi-disant "anarchique". Rien, dans le corps, ne se fait pour rien. Si une cellule décide de proliférer, c'est parce que le cerveau lui en a donné l'ordre. Pourquoi ? Pour répondre à un conflit de manque, de perte, de séparation, l'organisme crée une masse ... Rien d'anarchique dans cette réponse, mais une tentative de réparation, de guérison. D'accord, parfois le remède - la réponse biologique de l'organisme - est brutal et peut entraîner la mort. Cela peut paraître paradoxal, mais la notion de vie et de mort de la nature est différente de celle du cerveau humain qui, lui, ne veut pas mourir, coûte que coûte. Dans la nature, la mort est aussi naturelle que la vie. Et quand notre programme de vie doit s'arrêter, il s'arrête. Un point c'est tout.

Revenons à notre cellule: Il faut savoir accompagner les effets de cette guérison en encourageant le système immunitaire, rechercher le premier conflit et en éviter la formation du second.
Car cette petite cellule que l'on accuse de tous les maux parce qu'elle a obéi au cerveau, ne peut pas transmuter pour autant. Cellule du foie, elle ne va pas se transformer en cellule du poumon, cellule d'une partie du sein, elle ne va pas se déguiser en cellule de l'os. Elle n'en a pas le programme.

Le second conflit: souvent, c'est le fameux conflit de diagnostic. Selon Christian Flèche, pour un patient, un diagnostic est un pronostic.  L'information arrive brutalement dans le cerveau et induit une réaction en chaîne, en l'espace de quelques secondes: peurs de manquer, peur de perdre, peur de la mort, peur ... en fonction de la problématique de l'individu. Et voilà le 2è conflit déclenché. Le système immunitaire est déjà bas, il lui faudra gérer non seulement la réponse biologique présente, celle qui provoque le 2è conflit, en plus des traitements invasifs et brutaux qu'on lui prépare ...

5 mars 2008

Décodage biologique... comment ça marche

Le décodage biologique est une découverte relativement récente, développé à partir des travaux de Hamer (la Nouvelle Médecine Germanique) et d’autres chercheurs : par l’observation des scanners, radios et examens divers, et par l’écoute attentive des malades, ils ont fait le lien entre les pathologies et les conflits qui vivaient ces personnes.

Ces travaux ont été très décriés, car ils dérangent sérieusement. Mais à ma connaissance, personne n’a pu apporter des arguments contraires de qualité, ce qui aurait permis d’établir un dialogue constructif. On a juste traité Hamer de tout et de rien !

Il existe plusieurs types de conflits. Ils sont très bien décrits par Christian Flèche (« Mon corps pour me guérir », à partir du développement des feuillets embryonnaires qui composent notre cerveau.

Le corps n’est que le prolongement du cerveau. Aussi, lorsque le cerveau ne va pas, le corps ne va pas. Dans le cerveau existent des zones qui correspondent aux zones du corps. Aussi, la personne qui se fait tatouer l’épaule gauche pourrait voir, sur une image de très bonne qualité de son cerveau, la zone tatouée dans le cerveau. Une opération dans le corps, c’est une opération dans le cerveau. Une piqûre dans la fesse, et c’est le cerveau qui se fait piquer... Toute atteinte du corps est une atteinte du cerveau. Comme ces petits clous que certains se plantent un peu partout dans la lèvre, l’oreille, le nombril...

On oppose souvent les arguments qui suivent :

- les accidents : ils font partie des conflits dont il s’agit ici. Je n’ai pas n’importe quel accident n’importe quand, et cet accident ne touche pas n’importe quelle partie de mon corps à ce moment donné. Soit je n’écoute pas mon ressenti et mon corps finit par me le faire brutalement sentir, soit je règle ainsi – de façon assez brutale j’en conviens – un conflit en cours. C’est pourquoi certaines personnes se sentent mieux après l’accident qu’avant, plus libres, comme dégagées. Avec l’avantage de s’être arrêtées, de force puisqu’il n’y a pas eu moyen de faire autrement, pour réfléchir à la situation.

Exemple : je vis une étape importante de ma vie, dans laquelle je ne sais pas quelle direction prendre. A force d’hésiter, de tergiverser, je peux avoir « besoin » de me fouler la cheville.

- les maladies (le mal a dit) suite à... Une personne qui fume peut « attraper » un cancer du poumon. Les autres aussi d’ailleurs, mais selon une probabilité moindre. Le tabac est une méthode d’autodestruction. Paradoxalement, le poumon est à la fois une notion de territoire, et la peur de la mort. Chacun sait que ceux qui flirtent avec la mort sont souvent ceux qui en ont le plus peur. Alors ils lui lancent un défi permanent...

La cigarette n’est qu’une méthode qui va favoriser le cancer. Mais on peut mourir de bien d’autres choses, tout en fumant comme un poêle !

Il n’est sûrement pas question ici d’encourager ce genre de pratique que je trouve pestilentielle, et qui montre à quel point on peut se placer dans l’esclavage de soi-même, mais de montrer que c’est le conflit sous-jacent qu’il faut aller chercher. Tous nos actes ont une signification. Je ne peux agir que par le programme de mon cerveau.

Il en est de même pour nos excès alimentaires, et même pour les accidents de type alimentaire (intoxications), les gastro-entérites, les grippes hivernales...

Mais une fois que l’on découvre le conflit relatif à la pathologie, à l’accident, ou même à l’habitude que l’on souhaite éliminer, cela ne suffit pas toujours.

Parfois, la prise de conscience fait comme un « tilt » dans le cerveau, et le problème est réglé.

Souvent pourtant, le conflit a lui-même une origine qu’il s’agit de découvrir.

Découvrir l’origine du conflit.

Un conflit peut en cacher un autre... Il est donc nécessaire de se poser bon nombre de questions. L’idéal est toutefois de se les poser avant l’accident ou la maladie, donc de s’observer un tant soit peu, de faire attention à ce que l’on ressent, à notre rapport à l’autre et à la vie.

- Qu’est-ce qui ne va pas en ce moment ? Comment est-ce que je me sens ? Pourquoi est-ce que je me sens comme cela ?

En général, notre première réponse est : c’est la faute à ... !

- Que représente cette personne (ou cette situation) pour moi ? Qu’est-ce qu’elle me montre ? Pourquoi l’ai-je amenée sur mon chemin de vie ?

- Qu’est-ce que cela me rappelle : de mon enfance ? Ai-je vécu une situation similaire ?

Parfois, il faut aller chercher un événement qui se rapporte à un des éléments secondaires du conflit, pas au conflit lui-même. Le cerveau a détourné l’information qui était trop difficile à intégrer. Ex : l’eczéma chaque année à la même période, qui rappelle le jour où la mère a quitté la maison.

- Que s’est-il passé pendant que ma mère m’attendait ?

- Est-ce que je peux retrouver, dans ma généalogie, une situation semblable ? Y a-t-il un schéma répétitif ?

Le corps a enregistré les histoires familiales depuis l’origine des temps. Tout est gravé en nous. C’est pourquoi, lorsqu’on parle d’hérédité comme d’une fatalité, il faut toujours – en priorité – penser à l’hérédité des programmes bio-psychologiques. Si je viens d’une famille de diabétiques, il n’y a pas de fatalité. Quelle est l’origine du conflit qui se perpétue dans la mémoire du corps à chaque génération ? Dans mon corps, je peux lire le secret de famille de l’arrière grand-oncle côté paternel... Il n’apparaîtra probablement pas sous sa forme originelle, mais sous une forme symbolique propre à chaque individu.

Il existe plusieurs formes de thérapie pour se libérer. Elles permettent de réinformer les histoires-mémoires. Là, il me faut mettre en garde la lectrice ou le lecteur.

Le thérapeute qui pratique ainsi va lire dans les circuits et y introduire une information qui a pour but de « calmer » la mémoire, de lui montrer qu’il existe une autre orientation. Cette nouvelle information doit toujours se faire dans le sens d’un meilleur bien-être, d’une plus grande autonomie.

On voit donc l’importance de s’adresser à un thérapeute équilibré, qui ne cherchera pas à prendre le pouvoir sur la personne qui lui confie ses circuits ! Il ne devra pas y réintroduire une réinformation en fonction de son programme personnel, mais pour – et exclusivement pour – le bien-être de la personne. Il devra donc faire totalement abstraction de ses propres difficultés existentielles.

La méthode à laquelle j’ai été formée s’appelle Bio Textus. Elle comporte des règles déontologiques strictes dans le sens décrit plus haut. Il en existe d’autres, mais je ne les connais pas. Je conseille seulement la prudence, avec quelque thérapeute que ce soit, de Bio Textus ou d’ailleurs. Il peut toujours se produire des dérives, alors que la formation originelle est de très bonne qualité, simplement par goût du pouvoir (sur la personne, ou pour l’argent). Il vaut mieux demander un entretien préalable pour sentir si le courant passe.

Il serait cependant dommage de passer à côté des méthodes de libération actuelle, par une méfiance excessive. L’intuition doit nous diriger vers la personne qui est là pour nous, à un moment donné de notre vie. Puis de passer à autre chose, lorsqu’on en sent le besoin.

Vous trouverez, si vous le souhaitez, d’autres explications sur le site chemins-de-vie .fr.

Ce site mentionne également une autre méthode qui ne réinforme pas mais remet en marche les belles énergies bloquées de notre cerveau/corps. Cette méthode d’harmonie et de bien-être, douce et profonde, s’appelle le Reiki. Vous la connaissez sans doute...

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29 février 2008

Les grandes questions

Supposons qu’un vaisseau spatial se pose sur une table à côté de vous, qu’à l’intérieur se trouve le Livre Universel de la Connaissance et que vous ayez la possibilité de poser une seule question. Quelle sera-t-elle ?

Il vous est accordé de poser une question complémentaire ? Pensez à quelque chose que vous êtes curieux de savoir.

Quelle est la chose ont vous êtes absolument certain ?

Dès l’instant où vous soulevez une question dont vous ne savez vraiment pas la réponse, vous vous exposez au champ de toutes les possibilités. Que ferez-vous si elle vous mettait mal à l’aise ou vous entraînait hors de la zone de sécurité que vous avez établie ?

Que se passerait-il si je décidais de ... ?

Posez des questions, contestez les hypothèses et les pseudo-vérités que l’on prend pour des certitudes, reconnaissez vos paradigmes.

Avez-vous déjà essayé de traverser de l’autre côté de l’infini ?

Extrait du Livre Que Sait-on vraiment de la Réalité ? (What The Bleep Do We Know ?) de William ARNTZ, Betsy CHASSE et Mark VINCENTE aux Editions Ariane (sorti en DVD sous le titre anglais.

29 février 2008

Etes-vous parent, enfant ou adulte ?

Les mécanismes de domination

L'état Parent:

- L'intimidateur: critique, catégorique, inflexible, verbe haut, force physique, menaces, éclats brusques, donne des ordres, autoritaire, sarcastique.

 Þ Il craint des remarques embarrassantes, des réactions coléreuses d'où peurs et anxiété de l'entourage.

 Þ Ses mécanismes de défense: plaintif (tente de culpabiliser) ou contre-intimidateur (répond par l'agressivité).

- L'interrogateur: suspicieux, critique hostile, insiste sur les fautes et les erreurs, moralisateur, cynique, perfectionniste, logique infaillible, connaissances précises, intelligence.

 Þ Ses mécanismes de défense: indifférent, parfois plaintif.

 
L'état Enfant:

- le plaintif: pessimiste, visage soucieux, soupirs, tremblements, pleurs, regarde fixement au loin, répond lentement aux questions, ressasse les tragédies, s'efface devant les autres, séduit par sa vulnérabilité et son besoin d'aide, mais il ne tient pas vraiment à trouver les réponses car il perdrait sa source d'énergie. Attitude exagérément conciliante qui lui fait penser ensuite qu'on profite de lui.

 - l'indifférent: conflits intérieurs non résolus, craint d'être jugé, solitaire, manque de confiance en lui, ne demande pas d'aide, évite d'être mis en demeure de s'engager, besoin d'espace". Enfant, on ne reconnaissait pas sa personnalité, son besoin d'indépendance. Enclin à glisser vers le rôle du plaintif. Attire l'attention par sa personnalité mystérieuse, insaisissable.

L'état adulte:

 Il rassemble les informations à partir de plusieurs sources, analyse les possibilités, définit les choix à partir d'informations récentes. Il est ici et maintenant. Il est conscient de ses sentiments, des choix à faire, sait prendre des risques fondés.

 Il est capable d'entendre plusieurs opinions sans se sentir menacé et sans tomber dans une position rigide où il aurait l'impression de perdre ou de gagner.

Il reste en contact avec ses émotions et les exprime aussi précisément que possible, sachant qu'il découvre davantage de choses s'il s'ouvre aux événements. Il reste en contact avec son intuition et les sentiments personnels qui le poussent à agir.

29 février 2008

Illusions

Tout n’est qu’illusion, disent les Bouddhistes. La physique quantique les rejoint aujourd’hui.

« « Dieu », ou encore la « Source » expérimente une infinité d’états d’âme par notre entremise dans un jeu holographique infini de reflets. » dit Daniel Meurois- Givaudan.

Lorsqu’on plonge dans la plus petite particule de la matière, on constate qu’on tombe dans le vide. La matière n’existe pas, elle est un condensé d’énergie vibrant à différentes fréquences.

Et le vide de l’Univers est entièrement rempli d’énergie, véritable magma du tout possible.

Si je regarde une particule subatomique comme une onde, ce sera une onde. Si je la regarde comme une particule, ce sera une particule. Mon regard n’est pas neutre et crée la matière. Rien n’existe si je ne le regarde pas.

Ce que mes sens me signalent me paraît vrai car mon cerveau ne distingue pas le vrai du faux, l’absent du présent. Il suffit que je pense à un citron pour avoir les glandes salivaires en action. Il va juste chercher dans sa banque de données les informations auxquelles rattacher l’objet, qu’il soit vrai ou faux comme au cinéma.

Ce même cerveau ne peut voir que ce qu’il possède déjà dans cette banque de données. Des chatons, élevés dans une pièce sans lignes verticales, puis remis dans une pièce avec des meubles, des chaises, vont se cogner à ces lignes car ils ne peuvent pas les concevoir avant d’en avoir fait l’expérience. Ce n’est seulement qu’à ce moment-là que le cerveau va engranger l’expérience.

La physique quantique nous dit que nous choisissons à chaque instant la vie qui se déroule devant nous, comme un tapis roulant amène les courses au supermarché ou les valises à l’aéroport. Au départ, rien n’existe. Je suis là, immobile, dans l’éternité.

Donc, le monde que je crée est un hologramme. Mon corps, mes pensées habituelles – dont on n’a jamais trouvé le siège ! - , les objets et les êtres qui m’entourent, sont des hologrammes.

Cela signifie encore que nous ne sommes nés que par la pensée, et que nous ne mourrons que par la pensée. Je regarde la vie et je la crée, depuis l’éternité où je me trouve. Autrement dit, je ne suis jamais née. Donc, je ne peux pas mourir.

De ce fait, nous ne pouvons créer qu’en fonction de la banque de données de notre cerveau. Alors que le magma de potentialités est à notre portée. L’abondance est là, et notre cerveau étriqué ne peut pas l’atteindre. Sauf si...

« Les êtres humains pensent qu'ils vivent de petites expériences spirituelles alors que, dans la réalité, ce sont des êtres spirituels qui vivent une petite expérience humaine », dit Teilhard de Chardin.

Alexandra David-Neel a réussi à créer un hologramme par la seule force de sa pensée avec les instructions de son Maître tibétain.

Sauf si... nous élargissons le cadre, sin nous nous entraînons à concevoir que tout est possible, absolument tout. Qu’est-ce que je veux faire de ma « petite expérience humaine » ?

Est-ce que j’accepte de changer mon regard sur le monde ?

26 février 2008

Se regarder le nombril, pourquoi faire ?

   Pourquoi se regarde le nombril ?

Je vais observer ce que je crois être moi. Non dans le but de générer l’auto-satisfaction mais pour me connaître et dépasser l’ego. D’un maître en faire un serviteur que je vais utiliser pour trouver le sens de ma vie.

 Cet ego, que j’ai fabriqué de toute pièce en y agglomérant un fatras de croyances familiales, éducationnelles, politiques, économiques… est une illusion à laquelle je m’accroche et m’identifie.

 Je ne suis pas ces croyances. Je n’ai pas à vivre à travers les concepts des autres. Je peux me débarrasser de tout ce que j’ai compris de travers depuis mon enfance. Si mon père est un violent, tous les hommes ne le sont pas ; si ma mère est alcoolique, toutes les femmes ne le sont pas ; si les histoires « cochonnes » font rire, la sexualité n’est pas honteuse pour autant... Il y a en nous des croyances, des jugements sans valeur, des concepts, des violences rentrées, des peurs étouffées, des sanglots que l’on croyait perdus et qui ressortent un jour, sous forme de pathologies faute d’avoir été entendus, nommés, désamorcés plus tôt.

 Je peux toujours me dévouer aux autres corps et âme et on louera mon courage et mon altruisme à juste titre. Ma conscience sera en paix. Tout va bien.

 Mais je ne peux apporter que ce que j’ai : mes blessures d’abandon, de rejet, de trahison… Ce dévouement, si utile soit-il, n’est pas le mien : il est réaction à, baume sur mes propres plaies. Si je n’ai pas en moi la paix, si je suis un blessé de l’amour, une handicapée de la joie de vivre, j’aurais beau sourire, j’aurais beau donner, j’aurais beau paraître, je ne serais pas. Alors je fais ce que je peux et je me nourris en retour des mercis, des sourires ou des larmes de celui qui reçoit. C’est bien, c’est beau. C’est indispensable.

 Mais pas suffisant. Personne ne peut faire l’économie d’une remise en question de ses valeurs, d’une plongée dans son inconscient pour y retrouver ce paradis que l’on croyait perdu et que nous cherchons tous au travers des plaisirs matériels ou des satisfactions relationnelles, sans comprendre qu’il est bien en nous. Nous le savons. C’est ontologique. On n’y peut rien.

 Et quel bonheur de marcher à plusieurs sur ce chemin, de donner sans attendre même un sourire, de partager son ressenti, de voir l’autre s’épanouir davantage parce qu’il aura franchi un palier de plus dans la connaissance de lui-même. Alors c’est le cœur qui parle. Juste lui. Il a tant de choses à nous dire…

26 février 2008

Pour les femmes qui se cherchent...

Si l’on exclut la période du romantisme, il y a déjà bien longtemps que les parents, puis la société dans son ensemble, exigent des mâles qu’ils soient des hommes, et des femelles qu’elles soient des femmes. Les critères sociaux sont étranges et fluctuants : un homme ne doit pas pleurer, peut avoir plusieurs femmes, et doit rapporter le fruit de son travail au foyer. La femme est généralement pleurnicharde, elle doit faire et élever les enfants que lui donnent son époux, et attendre ce dernier en se faisant belle, dans le but de le contenter. Même à notre époque, cette description n’a rien de caricaturale.

 Pourtant, il est possible d’observer, depuis quelques années, une lente modification de cette réalité. Faisant fi de la pression sociale, les femmes ont adopté le pantalon et raccourci leurs cheveux, et les hommes cherchent davantage à soigner leur esthétique, jusqu'à fréquenter les salons de beauté. Peut-on dire pour autant que les femmes ne sont plus des femmes et que les hommes deviennent féminins ? Quels sont donc les critères de la féminité ?

I.  LES CRITERES SOCIAUX DE LA FEMINITE

 Mis à part quelques systèmes sociaux basés sur le matriarcat, l’homme a toujours imposé sa loi et ses exigences à la moitié féminine de la population. Les exemples les plus marquants sont nombreux dans les pays de fanatisme islamique. En Occident cependant, dans nos pays dits de liberté, la pression sociale n’en continue pas moins de faire des ravages. Mais les femmes ont su parfois amplifier ces exigences, et les utiliser à leur profit.

1)  Sois belle et tais-toi

 Un simple regard sur les production artistiques (affiches de publicité, de cinéma, photographies, peinture), montre à travers les siècles l’extrême diversité des critères de la beauté féminine. Des rondeurs cellulitiques, symboles de fertilité, à la maigreur androgyne, des corsets étouffants à l’épanouissement des formes, il suffirait de choisir son siècle, voir son ½ siècle, en fonction de ses goûts et de ses envies. A l’époque actuelle de la minceur et du gigantisme, il n’est pas demandé davantage aux femmes que de suivre la mode et de se couler dans le moule changeant de l’esthétisme, prometteur, semble-t-il, du plus grand des bonheurs.

 La femme se transforme ainsi en poupée, coincée dans des vêtements qui entravent la circulation et les mouvements, tartinée de crème et de fonds de teint, cachant soigneusement les moindres aspérités de la peau, les premiers signes de l’âge, pour paraître toujours plus jeune, toujours plus belle.

 Selon un piège parfaitement au point, et ancré dans l’inconscient collectif, chaque mère ne peut qu’apprendre à sa fille à se soumettre à cette loi sociale de l’apparence. Elle voudrait pourtant bien que celle-ci ne grandisse pas trop vite. Mais il arrive aussi souvent que la fille prenne les devants, capte le message de la beauté artificielle, du moule social, et de l’obligation de plaire afin de ne pas rester célibataire, tare de la société. Elle est alors vite emportée par la vague déferlante du regarde des autres.

2)  Les outils de séduction

 Pour obéir à ce mouvement, elle va devoir comprendre comment utiliser les outils de séduction qu’il lui faudra mettre en place, les rajoutant à ses outils précédents, ceux issus de son enfance. L’objectif n’est plus maintenant de plaire à papa et à maman, mais de plaire à l’homme.

 A grand renfort de publicité, l’industrie cosmétologique va se charger de faire l’éducation de la jeune fille, complétant et amplifiant parfois le message généalogique. Un gros budget est à prévoir pour s’enduire de crèmes anti- quelque chose, s’asperger de déodorant pour éviter que la nature fasse son travail, se peindre le visage pour paraître ce que l’on n’est pas - et surtout ne pas paraître ce que l’on est - , se teindre les cheveux pour corriger encore ce que la nature fait décidément si mal.

 Il semble donc indispensable de donner à son corps de nombreux produits chimiques, rassuré à l’idée que ceux-ci aient été « testés dermatologiquement par un laboratoire qualifié », selon une formule bien connue. Le derme en question n’est autre que la muqueuse anale ou les yeux des chats, appelés pudiquement « animaux de laboratoire ». Ces laboratoires sont subventionnés par les gouvernements, afin que les femmes puissent continuer à paraître, les dermatologues, gynécologues et cancérologues à travailler.

 Mais à part les chats qui, eux, ne le sont pas, les femmes sont bien souvent des victimes consentantes. Cependant, elles peuvent aussi devenir des bourreaux des cœurs. Les grandes séductrices ne sont pas rares, qui savent parfaitement utiliser leurs outils de séduction, véritables pièges à hommes. Le jeu se retourne contre ceux qui les voulaient belles et silencieuses. Elles ne disent pas un mot, sauf sur une scène quelconque, et ils tombent comme des mouches.

 Il arrive aussi qu’elles soient belles et cultivées. Elles sont alors réservées à la société mondaine dans laquelle elles apprennent à se mouvoir avec finesse et subtilité, alliant beauté, adresse, et intelligence féminine. Sont-elles heureuses pour autant ?

 La recherche de la beauté est bien une caractéristique de la féminité. Mais, nous venons de le voir, encore faut-il s’entendre sur la définition de ce terme. Il ne peut s’agir d’une beauté artificielle, d’un esthétisme aux variations saisonnières. Il existe immanquablement des caractères universels et beaucoup plus profonds de la féminité qu’il nous faut étudier maintenant, à partir de deux grandes idéologies.

II.  LES CARACTERISTIQUES DU YIN

 Doctrines ou religions, orientales ou occidentales, permettent sans aucun doute une approche de la féminité et de sa réalité profonde, symbolique. L’esthétisme, illusoire et éphémère, est alors ramené à sa juste place de manifestation de la beauté intérieure.

1)  A travers le TAO

 Le Taï Ki est le cercle de l’Unité et figure le Tao, la Voie. Le Yin et le Yang s’y confondent et s’engendrent mutuellement dans un mouvement circulaire perpétuel.

 Transposé à l’être humain, le Yang est l’aspect paternel, la méthode, la justice, la sévérité . Il est mouvement vers l’extérieur.

 Le Yin est l’aspect maternel, l’indulgence, l’intelligence du cœur, la passivité, la douceur, la gentillesse. Il est intériorité - mouvement vers l’intérieur -, et concentration.

 L’alternance du Yin et du Yang régit tous les changements dans le monde manifesté. Tous les rythmes cosmiques, humains, physiques et psychologiques, régissent la vie de l’homme. En conséquence, chaque être humain passe cycliquement sous l’influence du Yin et sous celle du Yang, selon le rythme des saisons, celui des jours, de la lune et du soleil, alternant des périodes d’intériorisation et d’expansion, de tristesse et de joie, de quiétude et d’excitation, de repos et de travail...

 Mais plus encore que l’alternance, chacun de nous contient, comme le cercle de l’Unité , le Yin et le Yang. Il serait difficile de concevoir la sévérité sans l’indulgence, la passivité sans le mouvement, une extériorisation permanente sans un temps de ressourcement. Si le rythme est nécessaire, chaque principe modère son opposé dans une danse parfaite, consacrant à la fois l’union et la distinction. Il y a donc équilibre dans le rapport idéal des deux principes.

 Mais cet idéal est rarement atteint dans un individu. Nos sociétés admettent qu’un homme soit belliqueux et qu’une femme pleure, confondant le rapport Yin/Yang, et celui de bourreau/victime. Pour ne pas pleurer, le jeune garçon doit renfermer des émotions de tristesse et de peur au plus profond de son inconscient. Une jeune fille apprend à contraindre son corps par des attitudes peu naturelles et bannies des kinésithérapeutes (port des talons hauts, jambes croisées..), enfermant sa spontanéité et ses émotions de colère, d’agressivité ou de rancune aussi profondément que possible.

Les textes hébraïques nous donnent un autre éclairage pour permettre d’approcher davantage la véritable nature féminine.

2)  A travers la Tradition (A. de Souzenelles)

 Adam, androgyne, contient en lui les principes mâle et femelle. S’il a conscience du premier, qui est lumière, partie accomplie de son être, il ne décèle pas l’autre côté (et non l’autre côte), sa zone d’ombre, riche d’un énorme potentiel. Ce « non encore accompli » demande à être découvert et apprivoisé. Ce sont ses animaux intérieurs qu’il lui faut nommer et retourner, son inconscient à explorer, les ténèbres de son être à sonder. Cette zone obscure est sa partie féminine . Mais il choisit de ne pas faire le travail, il ne reconnaît pas son aspect féminin, et préfère manger la pomme de l’Arbre de la Connaissance. Il se croit alors totalement accompli. Il se confond maintenant avec ses animaux intérieurs et hurle avec eux son désespoir et son abandon.

 Il ne peut plus unir ses côtés mâle et femelle dans des Epousailles divines, ni faire croître le Germe du Nom divin en gestation dans les profondeurs de son être, car il n’a pas fait œuvre mâle en travaillant sa terre intérieure, sa partie féminine. Il se démet de sa vocation de maternité pour en conférer l’opération extérieure à Eve. La dualité en tant qu’opposition est née et, avec elle, la recherche permanente de l’autre moitié à l’extérieur de son être.

 La Adamah est donc devenue Lilith, furieuse de n’avoir pas été reconnue, puis Eve, la femme biologique, qui reste néanmoins la femme lunaire, mystérieuse, aux pouvoirs obscurs. La nuit, l’obscurité et les forces de l’ombre ont toujours fascinées la race humaine, et les hommes plus encore qui continuent jusqu'à aujourd’hui de rejeter leur part féminine.

 Peu à peu, pourtant, la pression lente et patiente des femmes leur ouvre les portes de leur inconscient. Elles sont plus aptes qu’eux à faire le travail de cette recherche de la Source originelle car elles se sont peut-être moins éloignées de leur intuition et de leur intériorité. En chacun de nous, hommes et femmes, subsistent la tendresse, la gentillesse, la douceur, la paix et le repos, tous ces animaux intérieurs qui souffrent de n’être pas reconnus et se transforment en brutalité, rigidité, stress, maladies de l’âme et du corps. L’intelligence du cœur, de notre cœur, ne demande qu’à s’ouvrir, le féminin en nous ne demande qu’à s’exprimer. Un créateur de mode a perçu cette réalité et tenté de féminiser l’homme. Une majorité de femmes souhaitent de leur partenaire davantage de tendresse, de gentillesse, de qualités féminines. Est-ce que l’habit fera le moine, ou bien n’est-ce là encore que façade ?  
Accoucher du féminin consiste donc à explorer les moindres recoins de notre inconscient , à nettoyer toutes les zones d’ombre, à les accomplir pour y faire pénétrer la lumière. A ce moment-là pourra se faire le mariage intérieur entre les deux pôles, le parfait équilibre entre le Yin et le Yang, l’Union sacrée des opposés. Il est possible que cet équilibre nous fasse retourner à l’androgynie originelle, celle de l’âme, tout en s’exprimant dans le monde manifesté selon des spécificités propres à chacun, en dehors de tout critère social.

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